contre les dangers du brouillard, allumez votre anti-brouillard  [Page mise en ligne le: 17/01/2005. R�dacteur principal: V. Andr�s. Avertissement]

"Le droit des habitants de la commune a �tre inform�s des affaires de celle-ci ... est un principe essentiel de la d�mocratie locale. ..." Art. L.2141-1 CGCT

Entrepierres : la communication municipale (mandature 2001-2008)

- pas de journal communal (des dizaines de milliers d'euros jet�s par les fen�tres, mais pas 5 euros pour une ramette de feuilles A4).
- 1 r�union publique tous les 3 ans (on ne parle bien s�r pas des entretiens individuels, outil essentiel ! Une client�le, �a se soigne et �a s'entretient !).
- les convocations des conseils municipaux quasi-syst�matiquement affich�es hors-d�lai (se fier aux voitures gar�es sur le parking),
- les ordres du jour r�els des conseils municipaux comportent jusqu'� 4 fois plus de points que l'OJ officiel, [en savoir +]
- les sujets importants quasi-syst�matiquement en questions diverses, [en savoir +]
- pas de compte-rendus des conseils municipaux. (En 10 ans aucun CM d�di� au budget n'a donn� lieu � un compte-rendu), [et pour cause !]
- les d�lib�rations du CM port�es au registre avec jusqu'� 23 mois de retard, [en savoir +]
- la plupart des courriers �crits sans r�ponse �crite (y compris les courriers des administrations ou des communes voisines !)
- refus, ill�gal (reconnu comme tel par la CADA), de communiquer des pi�ces officielles, [en savoir +]
- pas d'information des conseillers municipaux quant aux courriers que M. le maire exp�die, pourtant sign�s avec la mention "au nom du conseil municipal",
- r�ciproquement, pas d'information des conseillers municipaux quant aux courriers re�us "� probl�mes". Pourquoi les inqui�ter ?
- etc., etc. [en savoir +]

Pris isol�ment, on pourrait consid�rer chacun de ces faits comme fortuits ou accidentels. Mais le cumul de tous ces faits (dont plusieurs sont des infractions), leur r�p�tition r�guli�re et syst�matique, ann�es apr�s ann�es, ne laisse h�las gu�re de place au doute. (sauf � avoir la couche de "ravissement" ad�quate).
Les doutes sont d�finitivement lev�s quand on croise (difficilement) les faits ci-dessus avec l'analyse de la gestion municipale.

La d�sinformation g�n�rale est un brouillard, n�cessaire, volontairement et sciemment mis en oeuvre pour dissimuler aux habitants, avant et apr�s, les d�cisions les plus choquantes prises au d�triment des int�r�ts de la commune.
Dissimulation avant pour assurer l'impr�paration de tous, l'ignorance ou l'effet de surprise, et donc le succ�s de l'op�ration. Dissimulation apr�s : quand le brouillard est lev� (la r�publique a quand m�me quelques obligations l�gales), 1 an ou 2 sont d�j� �coul�s, c'est le fait accompli ... et d�j� bien consomm�. (ex. le camion poubelle � 27.000 euros achet� � Nice). On peut alors vous dire tranquillement "mais pourquoi nous emb�ter avec cette vieille histoire".
La d�sinformation g�n�rale organis�e est bien un v�ritable outil de gestion � Entrepierres. Un outil volontaire, au moyen duquel une personne unique peut administrer, sans aucun contr�le et donc solitairement, la commune d'Entrepierres. Et cela pas toujours au plus grand profit de cette derni�re.
L'absence de communication �crite, l'exclusivit� de la communication orale, l'invocation syst�matique de l'urgence, sont les autres outils (la parfaite panoplie des bonimenteurs de foire et marchands d'articles de bazar) de l'activit� municipale.
Bref, cot� d�sinformation municipale, on ne m�nage pas sa peine (et on enfreint la loi s'il le faut). Quand on est fier de ses actions, et de ses projets, il n'y a aucune raison de les cacher !

Petite exception � l'ininformation: les annonces l�gales ! Evidemment uniquement car les lois de la r�publique l'exigent. (Et car on a d�j� essay� de passer outre, pour le POS, et M. le pr�fet a prolong� l'enqu�te, alors on se plie maintenant � la loi).
Il y a aussi les voeux (un quart d'heure en janvier) surr�alistes, o� l'on entend par exemple M. le maire :
- donner royalement quelques informations, sur les affaires �chues (il y en a peu, enfin d'affaires d'int�r�t g�n�ral s'entend !, alors c'est rapide !)
... et sur les dossiers � venir, par ex. l'intercommunalit�, inviter les habitants � s'informer (eux-m�mes) !! S'informer, qu'est-ce � dire ? doivent-ils poser des micros pour connaitre le mauvais coup qui se trame !
Un quart d'heure de voeux pieux et embrouill�s en janvier de chaque ann�e pour satisfaire votre envie �ventuelle d'entendre parler des affaires de votre commune. N'est ce donc pas assez ?

L'information des habitants : entrepierres.net

L'information des habitants : les initiatives municipales

L'information des concitoyens n'int�ressant quasi personne au sein du CM (comme la plupart des questions d'int�r�t g�n�ral), il n'est �videmment pas question d'initiatives constructives dans ce domaine. On ne cr�era rien (�a demanderait du travail et des efforts !).
Par contre, m�me si seule une minorit� d'habitants � acc�s � l'internet, il faut essayer d'y effacer le peu d'information qu'on y trouve.
- Dans cet esprit de salubrit�, de conserver une commune "bien tenue", et � d�faut d'�tre capable de r�pondre aux informations pr�sent�es sur le site, M. le maire d'Entrepierres cherche donc une piste, un moyen de voir comment faire fermer le site entrepierres.net. (malheureusement, �a semble plus compliqu� que d'avoir d'obligeantes petites mains qui "nettoient" les panneaux d'informations !).
C'est une chose de pr�ter concours ou d'organiser des d�cisions contraires � l'int�r�t communal. Du moment que personne n'est au courant, pas de g�ne. ("pas vu, pas pris"). Mais, ce genre de d�cisions supporte mal la lumi�re (plusieurs d�lib�rations/affaires pr�vues en 2004 ont d�j� du �tre report�es, la paralysie guette), Donc s'il y avait moyen de trouver un interrupteur ...
Que les visiteurs qui appr�cient le pr�sent site soient sans crainte, aucune inqui�tude � avoir de ce cot�. Si la municipalit� d'Entrepierres ne sait pas que la France est une r�publique, d'autres le savent et peuvent le lui rappeler. Voire au besoin le lui faire rappeler par les instances ad�quates (CADA, tribunal).
- Dans le m�me esprit, un maximum de pression est mis sur les rares conseillers qui font encore preuve d'un peu de lucidit� et tentent d'informer leurs concitoyens, des d�cisions hallucinantes, des lamentables projets personnels et de la d�liquescence de la gestion municipale solitaire et incontr�l�e. Leur oter tous moyens, les pousser si possible vers la sortie, pour avoir une chambre d'enregistrement, encore plus ignorante, encore plus "ravie", encore plus servile, est surement le meilleur moyen d'avoir un vrai dialogue dans une commune ! "Dialogue" qui fait r�guli�rement partie des voeux pieux exprim�s publiquement (avec un aplomb et une hypocrisie � tomber par terre !)

... client(e)s, oblig�(e)s, simples ravi(e)s ou ... citoyen(ne)s, selon sa position, chacun(e) appr�ciera ...


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